Mauvais jours
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Mauvais jours
Il est dans un de ses mauvais jours
Il vaut mieux le laisser tranquille.
Les ombres l’enveloppent tour à tour
Et tiennent sa vie par un fil.
Il pleut, on entend le tonnerre
Et des éclairs zèbrent le ciel
De l’eau pour notre terre nourricière
Remonte le fleuve du destin à son appel.
Ses souvenirs, il ne veut pas qu’ils s’en aillent
Des souvenirs, il en a tant
Une mort teintée de gris lui a brûlé les ailes
Mon père je vous en prie dites-moi qui la ramène ?
A ce peuple chargé d’histoires à vivre lui ne se sent pas…
Ne se sentira- t’il jamais libre ?
Ils prêtent à leur discours des humeurs très fiers
On l’attaque, il court au gré d’un vent sincère.
Les ombres viennent à son secours dans un volte face immobile
Il se retrouve face à une pluie tombant sur les trottoirs
Qui aime entendre la fumante misère.
Un bruit de voiture rien d’autre au fond, rien qui ne se désespère.
Des bruits de pas, le son d’une voix, le chant des oiseaux
Le temps qui coule de haut et se lancer vers toi corps perdu
C’est une plaie à vivre comme tes sens m’ont fait perdre la vue
Dans une absence qui jamais ne se délivre.
Il vaut mieux le laisser tranquille.
Les ombres l’enveloppent tour à tour
Et tiennent sa vie par un fil.
Il pleut, on entend le tonnerre
Et des éclairs zèbrent le ciel
De l’eau pour notre terre nourricière
Remonte le fleuve du destin à son appel.
Ses souvenirs, il ne veut pas qu’ils s’en aillent
Des souvenirs, il en a tant
Une mort teintée de gris lui a brûlé les ailes
Mon père je vous en prie dites-moi qui la ramène ?
A ce peuple chargé d’histoires à vivre lui ne se sent pas…
Ne se sentira- t’il jamais libre ?
Ils prêtent à leur discours des humeurs très fiers
On l’attaque, il court au gré d’un vent sincère.
Les ombres viennent à son secours dans un volte face immobile
Il se retrouve face à une pluie tombant sur les trottoirs
Qui aime entendre la fumante misère.
Un bruit de voiture rien d’autre au fond, rien qui ne se désespère.
Des bruits de pas, le son d’une voix, le chant des oiseaux
Le temps qui coule de haut et se lancer vers toi corps perdu
C’est une plaie à vivre comme tes sens m’ont fait perdre la vue
Dans une absence qui jamais ne se délivre.
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