Tout ça...

Elle a devant ses yeux d’ardoise quelques mèches délicieuses
Qui lui couvre la vue sur ton amour
Et encore un peu plus chaque jour
Ses humeurs se froissent à se prendre trop au sérieuse
C’est sans but ni secours quand tu la croises ; elle te reste silencieuse.
La voir, lui sourire, l’effleurer du regard comme une fleur sauvage.
Tout ça… Entre deux soupirs, elle est en retard
Mais dans un amour de présage
Elle te sauve de l’ombre que tu es
Elle te sauve de l’ombre que tu suis.
Elle te sauve de l’ombre qui te nuit.
Perdu, vidé d’existence,
Ne sentant plus rien t’appartenir.
Faire preuve de non violence
Et compter sur la chance pour t’en sortir
Alors que tout ça c’est toi mais tu ne vois rien.
Elle a juste besoin de savoir la vérité
Sur ce qui s’est passé…
Dans ton âme au plus profond
Ferme les yeux plus que de raison.
Est-ce une tendance à croire ?
Une attraction immobile…
S’il vous plait, il souhaite à la revoir
Pour une ambiance au plus que tactile.
Que les yeux de l’aveugle s’ouvrent
Le dormeur doit se réveiller
De tout ça combien j’en souffre
Comme d’être brûlé au quatrième degré.
Sainteté et chaises longues
Pour un check up désinfecté
Promiscuité de la jouer courte-langue
Et prendre un air désabusé
Mais il est ou ton halo de sainteté ?
Entre les seins de la vierge peut-être ?
Pressant ta tête en couronne
Non, il a osé brûler un cierge
Comme il aime entendre couiner une nonne
Démystifiez l’allure de cet être
Agissant pour et contre le faux
Jusqu’au fond du peut être
Comme de bêtise il en faut !!!