Spectatrice du désespoir

Très belle ainsi vêtue, cette spectatrice du désespoir
Il y en a à perte de vue lorsqu’un de nous manque de se voir
Les souvenirs d’un pauvre fou…
Mais l’essentiel c’est que de beauté, tu démystifies le nom
Des secrets qui nous sont masqués
Alors, il est là le temps ; chérir ta vie comme un présent.
Comme ton image se déporte, elle se noie entre deux eaux
Ce n’est pas l’envie qui manque mais faire la morte…
J’entends battre ton cœur en échos
Hélas ces faveurs sont tournées vers l’autre
C’est vrai qu’il se retient de ne t’avoir que pour faute
Il ne me reste plus qu’à aller voir ailleurs
Mais ailleurs c’est où ?
Là où partir loin mon cœur…
Se noie entre deux eaux
Dans les vestiges du néant et l’odeur de ta peau
Je ne sais pas qui tu es mais j’ai foi en toi
Parler ou ne rien dire, c’est une question de choix
Mais l’essentiel c’est que de beauté
Tu démystifies le nom
Des secrets qui nous sont masqués
Alors, il est là le temps ; chérir ta vie comme un présent.
Spectatrice du désespoir
Il y en a à perte de vue lorsqu’un de nous vient à se manquer
Les souvenirs d’un pauvre fou ne s’empêchant plus de t’aimer.