Aventure d’un jour
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Aventure d’un jour
Dans ses pensées, le chant des corbeaux…
Va-t-elle renoncer à voir la lumière ?
Tout est brûlé dans son cœur ; les mots
Ne sont plus que sombres envolées de poussière
Son allure se meurt ; dans ses pas
Elle traine une morsure au temps
Ce qu’elle est belle, tu en restes sans voix
Drapée de nuit en ce jour sous le vent.
Cette aventure d’un jour va finir mal, mal, mal.
Cette aventure d’un jour va se finir mal, mal, mal.
Elle porte son amour dans le creux de ses reins
A prendre soin d’éviter les rendez-vous sans lendemains
Ce qu’elle veut c’est t’accompagner dans la vie
Pour rendre moins douloureux le cortège des ombres te suit.
Regarde comme tu trembles dans tes choix
Avec ton silence pour habitude
Non, tu n’as pas toujours été comme ça…
Il te faut rompre avec la solitude
Cette aventure d’un jour va finir mal, mal, mal.
Cette aventure d’un jour va se finir mal, mal, mal.
Non pas qu’il soit trop tard comme tu la respires
Mais de tristesse, elle n’a que des adieux.
Elle est mal dans sa peau mais garde le sourire
La peine qu’elle fait se lit dans tes yeux.
Elle est plus une sœur qu’une amie
A vouloir être à ton bras
Il n’y a rien qui te l’interdit, non rien sinon toi.
Va-t-elle renoncer à voir la lumière ?
Tout est brûlé dans son cœur ; les mots
Ne sont plus que sombres envolées de poussière
Son allure se meurt ; dans ses pas
Elle traine une morsure au temps
Ce qu’elle est belle, tu en restes sans voix
Drapée de nuit en ce jour sous le vent.
Cette aventure d’un jour va finir mal, mal, mal.
Cette aventure d’un jour va se finir mal, mal, mal.
Elle porte son amour dans le creux de ses reins
A prendre soin d’éviter les rendez-vous sans lendemains
Ce qu’elle veut c’est t’accompagner dans la vie
Pour rendre moins douloureux le cortège des ombres te suit.
Regarde comme tu trembles dans tes choix
Avec ton silence pour habitude
Non, tu n’as pas toujours été comme ça…
Il te faut rompre avec la solitude
Cette aventure d’un jour va finir mal, mal, mal.
Cette aventure d’un jour va se finir mal, mal, mal.
Non pas qu’il soit trop tard comme tu la respires
Mais de tristesse, elle n’a que des adieux.
Elle est mal dans sa peau mais garde le sourire
La peine qu’elle fait se lit dans tes yeux.
Elle est plus une sœur qu’une amie
A vouloir être à ton bras
Il n’y a rien qui te l’interdit, non rien sinon toi.
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