Oser te le dire

Elle n’ose pas te le dire mais c’est de pitié qu’elle t’aime
Cette gêne, tes longs soupirs et sous les yeux, des cernes.
Restant là, à maudire les heures pour une paix à ton âme
Incertaine certitude en ton cœur, ton absence la désarme.
Elle tourne en rond sans but ni pourquoi et adore le chant des alouettes
Pensant la vie comme un acte de foi sous les mêmes rideaux,
La même fenêtre il y a là ses amants la main sur le cœur
Pour partir avec le vent, faire feu de liberté.
Tourner la page et croire en vous seigneurs pour apprendre à lire
La fin le temps de s’en aller…
Elle ose enfin te le dire, c’est de vérité qu’elle aime.
Tu caches mal ton sourire ; c’est ton innocence la peine
Rester là à chérir un cœur pour une paix à ton âme
Incertaine certitude pour cette fleur comme tu manques cruellement de charme
Elle éteints les lumières et tire les rideaux sur ta vie pour te donner un sens au pourquoi
Croire que son cœur était conquis par amour alors que non en aucun cas.