Il y a ce mal

Ce n’est pas faute d’en souffrir mais avec toi jouant les filles de l’air
Il y a ce mal qui ne sait plus mentir
Il y a ce mal aimant à se plaire
Brûlant d’innocence au désir en surface,
Ces plaisirs démodés que l’on se partage
Avoir une voix d’ange et pleurer au diable
Ont sens d’apprendre à blesser le capable.
Au risque de tout perdre, même le temps d’une vie
Je crois qu’on s’est compris ; il y a ce mal qui ne sait plus mentir
Il y a ce mal aimant à se plaire
Ce n’est pas faute d’en souffrir mais de l’ombre née la lumière
Elle est là tellement belle comme une fleur aimante
Mais voilà déjà qu’elle se lamente
Face à une pleine réalité, elle est touchée par le fond comme sous tes yeux
D’écorché tu ne vois plus cette femme de raison.
Ce n’est pas faute d’en souffrir mais il y a ce mal aimant à se plaire
Et toi ne voulant plus mentir comme d’amour, elle t’espère.